La tendance est à la migration vers le Cloud avec à la clé de multiples gains

Le Cloud permet de réduire ses coûts d’investissement mais aussi de gagner en sécurité, en vélocité et in fine en confort.

Le Cloud n’est désormais plus exclusivement dédié aux grandes entités du CAC40. Cette image persiste dans les esprits alors qu’en réalité les TPE et PME sont de plus en plus nombreuses à recourir au mode SAAS (Service As A Software). Cette tendance est d’autant plus accentuée pour leur ERP.

Selon de récentes études, le développement des SAAS sera de 15% cette année pour les logiciels de gestion en France. Mieux encore, une étude complémentaire souligne que le nombre d’entreprises recourant au Cloud a progessé de manière exponentielle entre 2013 et 2017 (environ 18 points). Ce changement ou plutôt cette évolution est notable car elle atteste que le comportement des entreprises via à via du Cloud a évolué très favorablement.

Le Cloud présente en effet de nombreux atouts évidents en terme de sécurité, de réduction des coûts, de rapidité, d’adaptation. Les entreprises pourront ainsi à terme se concentrer véritablement sur leur coeur de métier en confiant leurs infrastructures informatiques et leurs systèmes de gestion à des professionnels disposant d’une réelle expertise.

Faut-il migrer maintenant vers le Cloud ?

La réponse est « oui » et très rapidement. Si les TPE, PME et MGE s’orientent aujourd’hui vers le Cloud, c’est parce qu’elles ont compris qu’il y avait « péril en la demeure »…

Nombre de sociétés font face à des concurrents de plus en plus agressifs et rapides (les start-up) ; ces nouvelles structures ne s’encombrent pas d’infrastructures et de systèmes de gestion « on premises ». Elles contournent les coûts d’investissement, de maintenance et d’entretien d’équipement sur leur site. Elles créent ainsi plus aisément et rapidement de nouvelles offres de services. En d’autres termes, elles se concentrent sur leur coeur de métier.

Aller au-delà des idées reçues…

Les freins à passer au mode SAAS, bien que non fondés, perdurent encore et découragent encore certaines PME. Parmi ces idées reçues, il y a celles du manque de sécurité, de la perte de contrôle de ses données, du coût du SAAS bien trop élevé…

Avec le SAAS, pas de coûts fixes

Tout d’abord, le Cloud est un modèle qui transforme les coûts fixes en coûts variables : du fait de la mutualisation des coûts par les prestataires de Cloud, ceux-ci proposent une tarification attractive, directement liée à l’usage et au nombre d’utilisateurs. Les coûts peuvent s’analyser sous deux aspects : leur réduction et leur meilleure maîtrise, parce que le cloud améliore la prédictibilité.

Le Cloud réduit le coût total de possession

Le Cloud est également un modèle qui minimise les investissements : à la différence des projets informatiques classiques, le Cloud permet de s’affranchir des coûts de licences et de ressources spécifiques pour assurer l’exploitation d’une application. On réduit ainsi le coût total de possession (TCO).

Le SAAS assure un déploiement rapide des systèmes

Le SAAS permet la mise en place de solutions très rapidement opérationnelles : les (trop) longues périodes de test et de déploiement, des projets gérés en interne, sont réduites au minimum. Avec le Cloud, sitôt développé, sitôt déployé : une fois le paramétrage effectué, la solution est directement opérationnelle, les besoins d’intégration dans le système d’information existant étant généralement minimes. Le Cloud, en facilitant l’accès à des technologies plus modernes, est pertinent pour quasiment tous les usages des DAF, qu’il s’agisse de Business Intelligence, de gestion de trésorerie, de gestion budgétaire ou du SI finance.

Une maintenance logicielle permanente et un accès simplifié

Soulignons également que les opérations de mises à jour sont simplifiées : avec le Cloud, les tâches fastidieuses et coûteuses en temps et en ressources, comme les mises à jour, les changements de versions et les migrations sont directement prises en charge par le prestataire, de manière transparente pour les utilisateurs.

Une simplicité d’utilisation s’ajoute également aux avantages du Cloud : souvent, les solutions accessibles à partir des navigateurs Web s’avèrent plus intuitives et plus simples à utiliser pour les utilisateurs, une grande part d’entre eux étant habituée aux interfaces Web… et moins aux interfaces plus complexes des ERP traditionnels !

Autre avantage du cloud : des engagements de services : les prestataires proposant des offres Cloud fournissent un service, et, de ce fait, associent des engagements contractuels, largement suffisants pour la plupart des entreprises et des usages.

Cloud et scalabilité

L’adaptation aux volumes d’activités est également un point fort du Cloud  : les offres Cloud permettent aux clients de moduler leurs budgets en fonction des variations de leur activité, à la hausse ou à la baisse. Le Cloud apporte de la souplesse et de la flexibilité, contrairement à une solution classique avec laquelle, lorsque les besoins métiers évoluent, on n’est jamais certain de pouvoir faire face aux nouveaux investissements nécessaires.

Cloud et sécurité renforcée

Citons également une sécurité renforcée : en mutualisant les coûts, les prestataires de Cloud sont en mesure de proposer des environnements techniques robustes, sécurisés et certifiés ISO. De tels environnements sont souvent hors de portée financière pour beaucoup d’entreprises. Le fait qu’avec le Cloud, les aspects règlementaires, de conformité, de sécurité et de continuité de service soient gérés par les prestataires, est intéressant pour les entreprises qui fonctionnent à budgets contraints, qui manquent de connaissances sur ces sujets, ou de temps pour les intégrer correctement.

Les Directions Administratives et Financières aiment le Cloud…

Les services Administratifs et Financiers prennent progressivement conscience des atouts du Cloud. D’après une étude menée par le Cabinet PwC, 83% d’entre eux sont convaincus que leurs ressources applicatives seront dans le Cloud d’ici 2 ans (c’est-à-dire vers 2020).

Le Cloud, en rendant plus aisé l’accès à des technologies haut de gamme, répond aux attentes et aux pratiques des Directions Administratives et Financières. Cela concerne d’ailleurs aussi bien la BI (Business Intelligence), la Trésorerie, la Gestion budgétaire, la Finance…

De nouvelles tendances émergent pour les DAF avec notamment l’intelligence artificielle, le machine learning, l’intelligence adaptative, analytique… Seul un ERP hébergé dans le Cloud, plus évolutif et plus véloce, saura intégrer ces nouvelles richesse technologiques.

Et il en est de même avec les évolutions légales, réglementaires, les mises à jour fonctionnelles. Tout est intégré, mise à jour automatiquement dans le Cloud pour in fine permettre aux sociétés de se concentrer et performer dans leur métier.

Migrer sereinement vers le Cloud

Pour bien réussir cette transistion vers le Cloud, il fait choisir le bon moment pour basculer son système de gestion. L’idéal serait de basculer en fin de cycle d’amortissement et lors d’une mise à jour logicielle ou encore un chagement d’application.

Autre point incontournable, il est essentiel de s’assurer que l’éditeur du progiciel s’inscrive dans le respect du RGPD. De ce fait, les données de l’ERP doivent impérativement être hébergées en Europe.

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