
A propos de la compatibilité de Sage Paie et de l’application Windows VISTA
Les différents contrôles effectués nous ont permis de vérifier le fonctionnement correct (en environnement C Base ou SQL Server) des applications Sage Paie Base, Sage Paie Pack et Sage Paie Pack + sur un poste client Windows VISTA.
Concernant le serveur, Windows VISTA n’est pas un système Serveur.
Il convient donc de conserver les systèmes Windows 2000 ou Windows 2003 Server.
Les tests fonctionnels de la Paie Sage ont été menés en environnement VISTA 32 bits.
L’environnement VISTA 64 bits n’est pas préconisé pour l’utilisation de Sage Paie.
Applications minimum testées : Sage Paie Start V15.50 – Sage Paie base V15.50 – Sage Paie Pack V15.50 Cbase et SQL Server 2000 et 2005 – Sage Paie Pack + V15.50 Cbase et SQL Server 2000 et 2005

Comment effectuer l’export des données avec un logiciel Sage ?
Prenons un exemple concret, pour effectuer l’export de la Balance pour son import dans le logiciel ETAFI :
Aller dans Etat, puis Balance des comptes et enfin Imprimer dans un fichier.
Il faut exporter au format texte ou Excel ou encore Sylk.
Seconde étape : ouvrir votre Balance dans Excel.
Enfin, dernière étape : enregistrer au format .csv à partir d’Excel.
Le fichier .csv correspond simplement à un fichier Excel. Ce principe vaut pour tous les exports de données et pour de nombreux logiciels.

« Le fichier bcr est introuvable » : message d’erreur
Il arrive lorsque l’on va éditer le bilan qu’un message d’erreur « le fichier bcr est introuvable » s’affiche dans Sage Comptabilité.
Il suffit de cliquer sur :
- Fichier
- A propos de votre société
- Onglet Options
- Fichiers liés

Exonération du paiement de la CFP : Comment en bénéficier ?
Si vous justifiez pour l’année 2008 d’un revenu professionnel inférieur à 4489 euros, vous serez exonéré du versement de la Contribution à la Formation Professionnelle (CFP) de l’année 2009 exigible en Février 2010.
En revanche, l’exonération de la cotisation de la cotisation personnelle d’allocations familiales liée à votre âge et aux charges de famille assumées, ne dispense pas du versement de la CFP.
Si vous bénéficiez de l’Aide aux chômeurs créateurs ou repreneurs d’entreprise (ACCRE), vous devez régler néanmoins la CFP.

Droit à la formation : les gérants et travailleurs indépendants sont aussi concernés.
En tant que travailleur indépendant, vous pouvez accéder, à titre personnel, à la formation professionnelle. Son financement est assuré par la Contribution obligatoire à la formation professionnelle (CFP), payable une fois par an.
Vous êtes concernés, si vous êtes commerçant, membre d’une profession libérale, travailleur non salarié.
Si vous ne bénéficiez pas de la dispense du paiement de la Contribution à la Formation Professionnelle, le montant de la CFP à régler est de 47 euros par an. Ce montant est à régler une fois par an en février de chaque année au titre de l’année précédente. Ce forfait correspond à 0.15% du plafond annuel de la Sécurité sociale.
L’URSSAF vous adresse une attestation justifiant de votre droit à la formation professionnelle auprès des organismes de formation dont vous relevez.
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Le DIF : qu’est-ce que c’est ?
En France, tous les salariés bénéficient d’un Droit Individuel à la Formation (DIF) équivalent à 20 heures par an et cumulable sur 6 ans.
Pour être plus précis, le DIF est plafonné à 120 heures en cas de non-utilisation (ou plus si un accord de branche ou d’entreprise prévoit un quota plus élevé). Le DIF s’applique également à la Fonction Publique et aux agents sous contrats aidés par la Fonction Publique.
Le DIF est issue d’un accord national interprofessionnel signé en 2003 puis repris par la loi du 5 mai 2004 dite Loi sur « la formation professionnelle tout au long de la vie et au dialogue social ».
La loi de modernisation de la fonction publique adoptée le 2 février 2007 donne désormais à tout fonctionnaire (fonction publique d’État, territoriale et hospitalière) la possibilité d’accéder à un DIF.
Ce droit est également précisé dans la loi du 7 février 2007 relative à la fonction publique territoriale: les fonctionnaires territoriaux bénéficient d’un droit individuel à la formation calqué sur celui dont bénéficient les salariés du privé.

Choisir son logiciel de comptabilité : tout un programme…
Quelles questions faut-il se poser avant l’achat d’un logiciel de comptabilité ?
Quel sont les capacités du logiciel de comptabilité et quel est le budget disponible ?
Il existe sur le marché de nombreux logiciels de comptabilité et de nombreux éditeurs : Ciel, Sage, Ebp, Sage Apinégoce, Cegid…
De nombreuses possibilités sont offertes : simple comptabilité dépenses-recettes, comptabilité à partie double (achat-paiement, vente-règlement), comptabilité analytique, budget, gestion des lots, TVA sur encaissements, comptabilité incluant les immobilisations, gestion des abonnements, rapprochement bancaire automatique, gestion des relevés bancaires…
En étudiant les fonctions recherchées et leur adéquation budgétaire, on peut avoir une idée du logiciel à choisir.
Pour vous aider dans votre choix, IG Conseils à conçu pour vous un tableau comparatif des logiciels de comptabilité Ciel, Sage, Ebp, Cegid, Apisoft.
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Le plan comptable : l’outil indispensable pour la comptabilité
La comptabilité s’établit en saisissant les opérations (achats, ventes, encaissements, paiement) dans les comptes du plan comptable.
Il existe trois système de plan comptable différent :
- le système abrégé.
- le système de base.
- le système développé, comprenant tous les comptes.
Nous vous conseillons d’acheter la liste intégrale des comptes sous forme d’accordéon. Vous pouvez le trouver dans les rayons scolaires ou sur internet.
Il est composé de 9 classes : chaque premier chiffre représente sa classe d’appartenance :
Les comptes de la classe 1 représentent les comptes de capitaux
On y trouve le capital en 101, le résultat de l’exercice en 12, les emprunts en 16.
Les comptes de la classe 2 représentent les comptes des immobilisations
Exemple les logiciels en 205, le matériel informatique en 2183.

Quelles sont les entreprises soumises à l’IS ?
Les Sociétés qui sont soumises de plein droit à l’impôt sur les sociétés (IS) : Sociétés anonymes (SA), Sociétés à Responsabilités limitées (SARL), Sociétés en commandite par action, Sociétés par action simplifiées (SAS).
Les sociétés pouvant opter pour une imposition à l’IS mais non soumise de plein droit : Entreprise Uni personnelle à responsabilité limitée (EURL), Société en nom collectif (SNC), Sociétés en participation, certaines sociétés civiles, Société créées de fait.
Le taux de l’IS
Taux normal : 33,33 %
Ce taux est augmenté d’une contribution fixée à 3,3 % lorsque le montant de l’IS excède 763 000 euros pour les entreprises dont le chiffre d’affaires est supérieur ou égal à 7 630 000 euros.
Taux réduit : 15 %
Ce taux s’applique de plein droit sur une fraction du bénéfice imposable limitée à 38 120 euros pour les Petites et Moyennes Entreprises :
- qui réalisent un chiffre d’affaires h.t. inférieur à 7 630 000 euros au cours de chaque exercice pour lequel le taux réduit est demandé,
- dont le capital est entièrement libéré et détenu pour 75 % au moins par des personnes physiques ou par une société elle-même détenue à 75 % au moins par des personnes physiques.
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Cotisations en début d’activité
Le créateur peut demander à être dispensé de verser ses cotisations sociales pendant les 12 premiers mois de son activité par le bénéfice du report des charges sociales, tout en bénéficiant des prestations correspondantes.
Pour tous les créateurs :
Cette faculté, instaurée par la loi Dutreil sur l’initiative économique, est ouverte à tout créateur, qu’il relève du régime social des travailleurs indépendants (ex : entrepreneur individuel, gérant majoritaire de SARL, gérant associé unique d’EURL), ou de régime général des salariés en tant que dirigeant d’une société (ex : gérant minoritaire de SARL, président de SAS y compris s’il est associé unique).
Un report de 12 mois :
Les cotisations reportées sont exigibles, sans majoration de retard, à la même date et dans les mêmes conditions que la cotisation définitive suivante, pour les non-salariés, ou à la première échéance de versement des cotisations afférentes aux rémunérations perçues à compter du treizième mois d’activité de l’entreprise, pour les créateurs dirigeants salariés.
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